a réalisé(e) son bilan de compétences chez ORIENTACTION - Venelles (13) en -1
En décembre 2020, j’ai fait un burn out dû à des difficultés dans mon couple et une insatisfaction professionnelle. Je suis docteure en archéologie, j’ai eu la chance de fouiller et mener un projet de recherche à Pompéi ce qui était mon rêve d’enfant. Cependant, je n’ai jamais eu l’opportunité d’obtenir un poste et le système m’a écœuré. Avant de prendre la décision de faire un bilan de compétence, il m’a fallu faire un long chemin car l’on ne quitte pas un métier passion du jour au lendemain. Après ce burn out, j’ai pris quelques mois de repos et de réflexion. J’ai reconstruit mon couple et ma famille, puis j’ai pris la décision de changer de métier. Mais quel métier choisir ? Je n’avais aucune idée de ce que j’étais capable de faire en dehors de l’archéologie et je ne voulais surtout pas d’un travail « alimentaire ». J’ai donc choix de faire un bilan de compétence.
Le bilan de compétence m’a permis de sortir de l’archéologie et découvrir le champ des possibles. Le travail d’investigation sur les valeurs et surtout les besoins m’ont permis de mieux me connaître et d’ouvrir les yeux sur mes compétences et mes capacités. Cela m’a amené à découvrir l’ingénierie de formation qui est apparue comme une révélation, l’ayant déjà fait sans le savoir dans mon ancien métier. Le bilan m’a permis de me mettre en position d’agir avec confiance dans mon potentiel et mon avenir professionnel. J’ai depuis obtenu un contrat de professionnalisation pour suivre la formation « Responsable projets et ingénierie de formation » avec le GIP-FCIP et le Greta. Dans le cadre de mon travail, je suis co-responsable de formation sur des titres BAC+2 et BAC+3 en BTP. Je me sens enfin parfaitement à ma place, j’ai encore plein de choses à apprendre mais ce challenge m’anime et me motive.
En décembre 2020, j’ai fait un burn out dû à des difficultés dans mon couple et une insatisfaction professionnelle. Je suis docteure en archéologie, j’ai eu la chance de fouiller et mener un projet de recherche à Pompéi ce qui était mon rêve d’enfant. Cependant, je n’ai jamais eu l’opportunité d’obtenir un poste et le système m’a écœuré. Avant de prendre la décision de faire un bilan de compétence, il m’a fallu faire un long chemin car l’on ne quitte pas un métier passion du jour au lendemain. Après ce burn out, j’ai pris quelques mois de repos et de réflexion. J’ai reconstruit mon couple et ma famille, puis j’ai pris la décision de changer de métier. Mais quel métier choisir ? Je n’avais aucune idée de ce que j’étais capable de faire en dehors de l’archéologie et je ne voulais surtout pas d’un travail « alimentaire ». J’ai donc choix de faire un bilan de compétence.
Le bilan de compétence m’a permis de sortir de l’archéologie et découvrir le champ des possibles. Le travail d’investigation sur les valeurs et surtout les besoins m’ont permis de mieux me connaître et d’ouvrir les yeux sur mes compétences et mes capacités. Cela m’a amené à découvrir l’ingénierie de formation qui est apparue comme une révélation, l’ayant déjà fait sans le savoir dans mon ancien métier. Le bilan m’a permis de me mettre en position d’agir avec confiance dans mon potentiel et mon avenir professionnel. J’ai depuis obtenu un contrat de professionnalisation pour suivre la formation « Responsable projets et ingénierie de formation » avec le GIP-FCIP et le Greta. Dans le cadre de mon travail, je suis co-responsable de formation sur des titres BAC+2 et BAC+3 en BTP. Je me sens enfin parfaitement à ma place, j’ai encore plein de choses à apprendre mais ce challenge m’anime et me motive.